C’est le soir d’Halloween et au lieu de distribuer des friandises, tu as plutôt envie de te blottir dans le canapé en regardant un bon film. Voici quelques titres qui pourraient t’inspirer.
Le nouveau stagiaire

Ce film l’histoire entre un retraité, Ben Whittaker, qui décide de reprendre le chemin de l’entreprise et une maman chef d’entreprise, Jules Ostin qui peine à concilier vie de famille et vie de chef d’entreprise.
Agé de 70 ans et veuf, Whittaker réalise que la vie de retraité n’est pas aussi cool qu’il croyait. Du coup, il décide de reprendre le service dès que l’occasion se présente. Ce qui n’a pas tardé à venir.
Il se porte candidat à un poste de stagiaire senior dans une start-up dirigée par Jules Ostin, une jeune mompreneur dynamique mais inexpérimentée. Coup de chance, il est accepté pour le poste.
Dès les premiers jours, il a réussi à s’intégrer dans l’entreprise. Il est vite apprécié par ses jeunes collègues sympas, accros à l’informatique. Il faut dire que Ben Whittaker est un homme chaleureux qui n’hésite pas à donner de bons conseils. Très vite, il est devenu indispensable par son charisme et son amabilité.
Pour sa patronne, il est devenu une figure paternelle. Du coup, il est affecté auprès de celle-ci pour l’aider à prendre confiance en elle et à régler par la même occasion son problème de couple (infidélité de son mari).
L’intrigue de ce film a touché le grand public sans tomber dans le cliché. Elle présente en effet une entreprise jeune et cool, sans cacher pour autant la pression par ce beau monde. On apprécie également la complicité entre le septuagénaire et la mompreneur trentenaire.
Le diable s’habille en Prada
Sortie dans les salles obscures en 2006, cette comédie américaine est l’un des films dont on ne s’en lasse pas. Elle raconte l’aventure d’une jeune journaliste au sein d’un célèbre magazine de mode.

A la recherche d’un travail, Andréa Sachs est contacté par une grande maison d’édition pour un poste au sein du célèbre magazine Runway. Ce dernier est dirigée par la redoutable Miranda Priestly qui recherche une seconde assistante.
Passionnée du journalisme, Andréa a vite déchanté dès ses premiers jours au sein de l’entreprise. Déjà, son style vestimentaire tranche avec celui de ses éventuels collègues. D’ailleurs, sa patronne et la première assistante de celle-ci n’ont pas tardé à le lui faire remarquer. Cependant, son niveau professionnel et sa compétence ont convaincu la très exigeante Miranda qui décide de l’embaucher.
Super contente de son nouveau job, tant le magazine où elle travaille est célébre et sa nouvelle patronne vénérée dans le monde de la mode, elle va vite descendre de son petit nuage. Entre les coups de colère de sa patronne, les moqueries de sa collègue et les missions improbables qu’on lui confie, Andréa finit par perdre son enthousiasme et sa passion pour le journalisme. Au bord de la déprime, la jeune journaliste se demande si elle va
continuer à subir les caprices de sa patronne et sacrifier sa vie sociale pour s’assurer un avenir brillant ou jeter l’éponge et continuer à galérer pour trouver un nouveau job qui ne sera même pas aussi prestigieux que celui que Miranda Priestly lui offre.
Ce film diaboliquement plaisant est inspiré par l’authentique prêtresse de la mode et non moins la patronne du Vogue américain, Anna Wintour.
Working girl (1989)
Ce film raconte les aventures de Tess McGill, une jeune secrétaire qui essaie de prendre la place de sa patronne.

Tess McGill est une jeune femme ambitieuse qui vient de perdre son emploi et son petit ami le même jour. Elle se retrouve affectée dans un autre service en tant que secrétaire de Katharine Parker. Cette dernière lui propose de faire équipe avec elle, donc elle doit aussi proposer ses propres idées. Tess propose alors l’idée d’acheter une radio pour la société mais nullement convaincue, Katharine n’adhère pas à l’idée. Elle refuse donc la proposition.
Un jour, Katharine s’est blessée suite à un accident de ski. Elle se retrouve immobilisée. Du coup, elle demande à sa collaboratrice Tess de s’occuper de son appart. C’est ainsi que la jeune secrétaire découvre que sa patronne essayait de lui voler son idée. Sautant sur l’occasion, elle s’arme de culot et contacte un homme d’affaire répondant au nom de Jack Trainer pour réaliser le rachat de la station de radio.
A son retour au boulot, Katharine découvre que Tess bosse sur le projet toute seule pour prendre les lauriers. Elle lui fait donc un scandale et Tess se défile pendant un petit moment, reconnaissant qu’après tout elle n’est qu’une simple secrétaire. Plus tard, elle reprend le poil de la bête et décide de raconter à Jack Trainer comment elle a eu cette idée d’acheter la station de radio. Lorsque Katharine est interrogée sur l’origine de cette idée, elle n’arrive pas à donner une réponse. L’entreprise qui a gagné le contrat a donc proposé à Tess un job, mais pas en tant que secrétaire mais directrice. Elle a droit à un bureau pour elle et une secrétaire. Au final, elle a réussi son coup !